1 novembre 2012
Louis Aragon et Jean Ferrat
« …Que serais-je sans toi qui vins à ma rencontre,Que serais-je sans toi qu'un cœur au bois dormant,Que cette heure arrêtée au cadran de la montre,Que serais-je sans toi que ce balbutiement… » Louis Aragon – Jean Ferrat